• - MIRACLE EN 1943

    UN MIRACLE EN 1943 PENDANT LA SECONDE GUERRE MONDIALE

     

     


    Quand  je  pense  que  certains  navigants  roulent  des  mécaniques  dans  leurs  uniformes  bien
    propres du départ à l'arrivée !!!
    ( d'’après la signature, c’est le navigateur de la forteresse qui adresse la lettre à son épouse, et
    comme tout le courrier passait par la censure, il s’adresse au censeur au début)
    «  S’il  existait  des  lois,  règles  ou  filtrage  contre  le  fait  d’'envoyer  la  photo  ci-dessous  à  ma
    femme, s'’il vous plait refermez le pli et retournez le moi ; c’est une prise de photo unique et je
    détesterais la perdre. »
    Merci. Signature
    En  1943  une  collision  en  vol  le  1er fevrier  1943,  entre  un  B17  et  un  Chasseur  allemand  au-
    dessus du  port  de  Tunis  est  devenue  l’objet  de  l’une  des  plus  célèbres  photographies  de  la
    WWII. Un chasseur ennemi attaquant une formation de 97th Bomb Group perdit le control,
    Probablement avec un pilote blessé, au court de sa descente mortelle contre la partie arrière du
    fuselage de la forteresse volante nommée « All American », pilotée par le Ltt Kendrick R. Bragg
    du 414th Bomb Squadron.
    Lorsque  le  chasseur  a  percuté  il  s’est  disloqué  mais  a  laissé  des  morceaux  dans le B17.  La
    partie gauche du plan fixe et l’aileron gauche ont été complètement arrachés.
    Les 2 moteurs droits étaient HS et l’un de gauche avait une sérieuse fuite à la pompe à huile.
    La  partie  de  la  dérive  fixe  et  la  partie  mobile  ont  été  endommagées,  le  fuselage  a  été
    pratiquement entièrement sectionné seulement tenu

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    par deux petites parties de la cellule,
    Les radios et les systèmes électrique et oxygène endommagés. Il y avait aussi un trou sur le
    dessus de plus de 4,80 m de long et 1,20 m de large sur la partie la plus large ; la rupture du
    fuselage allait jusqu’à la tourelle du mitrailleur du haut.

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    Bien  que  la  queue  cabossée  se  balançait  dans  le  vent  relatif,  elle  se  tordait  lorsque  l’avion
    tournait  et  tous  les  câbles furent  sectionnés  à  l’exception  d’un  seul  pour  la  profondeur  qui
    fonctionnait encore, et l’avion continuait miraculeusement à voler !
    Le mitrailleur de queue était pris au piège car il n’y avait plus de plancher reliant la queue du
    reste  de  l’avion.  Les  mitrailleurs  du  fuselage  et  de  la  queue  utilisèrent  des  morceaux  du
    chasseur allemand et leur propre harnais de parachute afin d’éviter que la queue ne se détache
    et que les deux côtés du fuselage ne se séparent.
    Pendant que l’équipage essayait que le bombardier ne se déboite, le pilote continuait sur son
    run et larguait ses bombes sur l’objectif
    Lorsque les trappes de bombardement furent ouvertes, les turbulences furent telles qu’un des
    mitrailleurs  du  fuselage  fut  soufflé  dans  la  partie  abimée  de  la  queue.  Cela  prit  plusieurs
    minutes  à  quatre  membres  de  l’équipage  de  lui  passer  des  suspentes  de  parachute  et  de  le
    tracter vers l’avant de l’avion. Quand ils essayèrent de faire la même chose pour le mitrailleur
    de  queue,  la queue se  mit  à  battre  tellement  qu’elle commençait à  se  détacher.  Le  poids  du
    mitrailleur de queue ajoutait de la stabilité à la section arrière, aussi il retourna à sa place. Le
    virage  retour  vers  l’Angleterre  dût  être  fait  très  lentement  pour  éviter  que  la  queue  ne  se
    détache. Ils parcoururent presque 70 nautiques pour faire le virage retour. Le bombardier était
    tellement endommagé qu’il perdait de l’altitude et de la vitesse et se retrouvait bientôt seul dans
    le ciel.
    Pendant  un  bref  instant  deux  autres  chasseurs  allemands  Me-109  attaquèrent le  « All
    American  ».  En  dépit  des  dommages  progressant,  tous  les  mitrailleurs  furent  capables  de
    répondre  à  ces  attaques  et  bientôt  éconduisirent  les  chasseurs.  Les  deux  mitrailleurs  de
    fuselage se tenaient debout avec la tête dehors au travers du trou dans la partie supérieur du
    fuselage  pour  braquer  et  tirer  avec  les  mitrailleuses.  Le  mitrailleur  de  queue  devait  tirer  de
    courtes rafales parce que le recul faisait tourner l’avion.

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    Des chasseurs P 51 alliés interceptèrent le « All American » comme il traversait la Manche et
    prirent une des photos montrées. Ils prévinrent la base par radio en décrivant que l’appendice
    surfait comme la queue d’un poisson et que l’avion ne pourrait pas se rendre à la base et qu’il
    fallait envoyer des bateaux pour récupérer l’équipage lorsqu’ils sauteraient.
    Les chasseurs restèrent avec la Forteresse, recevant des signaux manuels du le LTT Gragg et
    les relayant à la base. Le Ltt Bragg signala que 5 parachutes et le spare avaient été utilisés,
    aussi  cinq  membres  d’équipage  ne  pourraient  pas  évacuer.  Il  prit  la  décision  que  s’ils  ne
    pouvaient pas évacuer en toute sécurité, il resterait dans l’avion pour le poser.

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    Deux heures et demie après avoir été percuté, l’avion fit son dernier virage face à la piste alors
    qu’il était encore à plus de 40 nautiques.
    Il  descendit  pour  un  atterrissage  d’urgence  et  fit  un  une  décélération  normale  sur  son  train
    d’atterrissage.
    Lorsque l’ambulance s’approcha à côté, elle fut remerciée car aucun membre de l’équipage ne
    fut  blessé.  Il  était incroyable  que l’avion ait pu  continuer  à  voler  dans  de  telles  conditions.  La
    Forteresse se tient placidement jusqu’à ce que tout l’équipage sort par la porte d’accès et que
    le mitrailleur de queue descende d’une échelle, et c’est à cet instant que toute la partie arrière
    s’effondra.
    Ce vieil oiseau a fait son boulot et a ramené l’ensemble de l’équipage sain et sauf à la maison.

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    MERCI DE RETRANSMETTRE A QUELQU’UN D’AUTRE QUI APPRECIERA CETTE INCROYABLE HISTOIRE.

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