• - LOUIS ET ZÉLIE MARTIN

    LOUIS ET ZÉLIE MARTIN CANONISÉS

    - LOUIS ET ZÉLIE MARTIN

    Louis et Zélie MARTIN

     

    Ils sont les parents de sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus et de la Sainte-Face6 et de ses quatre sœurs, toutes religieuses.

     

    Louis Martin naît le 22 août 1823 à Bordeaux, fils de Pierre-François Martin (1777 - 1865) et de Fanie Boureau (1780 - 1883). Dernier d'une famille de trois filles et deux garçons, il est élevé au hasard des garnisons de son père, militaire de carrière. Après ses études, Louis apprend le métier d'horloger7. Vers 22 ans, attiré par la vie monastique, il demande à entrer au monastère du Grand-Saint-Bernard ; mais sa candidature est refusée car il ignore le latin. Il séjourne alors trois ans à Paris, puis s'installe à Alençon chez ses parents qui occupent un magasin d'horlogerie-bijouterie7, rue du Pont-Neuf.

     

    Pendant huit années, il mène une vie laborieuse, calme et méditative. Ses distractions consistent en de longues séances de pêche, quelques parties de chasses et les soirées avec ses amis au Cercle Catholique "Vital Romet"8. Sa foi demeure vive, c'est un chrétien fervent : messes le dimanche et en semaine, adoration du Saint-Sacrement9, pèlerinages. Il achète à Alençon le Pavillon10, une tour entourée d'un terrain, pour jardiner, lire et méditer. À 34 ans, il est encore célibataire, au grand désespoir de sa mère.

     

    Azélie-Marie Guérin – qu'on appellera toujours Zélie – naît le 23 décembre 1831 à Gandelain, village de l'Orne proche du bourg de Saint-Denis-sur-Sarthon. Son père Isidore Guérin (1777 - 1865), un ancien soldat de la Grande Armée qui s'est battu à Wagram, a suivi Masséna et Soult pendant la guerre d'Espagne, est désormais gendarme à Saint-Denis-sur-Sarthon4. Sa mère, Louise-Jeanne Macé (1805 - 1859), est une paysanne assez rude. Zélie a une sœur aînée, Marie-Louise (1829 - 1877). Son frère Isidore (1841 - 1909) naît dix ans plus tard.

     

     

    En septembre 1844, ses parents s'installent à Alençon. Zélie et Marie-Louise reçoivent une formation soignée au pensionnat des religieuses des Sacrés-Cœurs de Picpus. Intelligente et travailleuse, Zélie garde de son éducation austère une tendance au scrupule, bien dans la spiritualité de l'époqueA 4. Les relations avec sa mère sont difficiles et elle ne conservera pas le souvenir d'une enfance heureuse, elle écrira même : « Mon enfance, ma jeunesse ont été tristes comme un linceul »A 3. Elle ressent assez tôt un appel à la sainteté, que tempère pourtant son robuste bon sens : « Je veux devenir une sainte, ce ne sera pas facile (...) ». Elle songe alors à entrer à l'Hôtel-Dieu d'Alençon comme religieuse, mais la supérieure l'en dissuade.

     

    Déçue, elle devient dentellière et se révèle particulièrement douée pour la confection de dentelle au point d'Alençon, travail délicat et minutieux. En 1853, âgée seulement de 22 ans, elle ouvre une boutique avec Marie-Louise. Mais sa sœur la quitte pour entrer au couvent des Visitandines du Mans sous le nom de sœur Marie-Dosithée.

     

    Le mariage

     

    Basilique Notre-Dame d'Alençon, lieu du mariage de Louis et Zélie le 12 juillet 1858.

    En 1858, c'est à l'âge de 35 ans, sur le pont de Sarthe11 dans la capitale ornaise, que Louis rencontre Zélie qui en a alors 27. Ils se marient le 12 juillet 1858 à l'église Notre-Dame d'Alençon. À l'instigation de Louis, ils décident d'abord de vivre comme frère et sœur dans une continence perpétuelle. Mais leur confesseur les en ayant dissuadés, les naissances se succèdent entre 1859 et 1873 : Zélie donne naissance à neuf enfants, sept filles et deux garçons. Cependant, la mortalité infantile demeure très élevée à cette époque, et les Martin perdent quatre enfants en bas âge.

     

    Malgré ces deuils, malgré une maladie du sein qui progresse lentement depuis 1863, Zélie consacre toute son énergie à son entreprise. Celle-ci est prospère et emploie jusqu'à une vingtaine d'ouvrières. À force de labeur et d'épargne, les époux Martin ont acquis une grande aisance financière. En 1870, Louis vend son horlogerie2 à un neveu, afin d'aider sa femme à administrer sa production et son commerce, et à gérer leurs biens.

     

    Zélie se dévoue également pour ses filles : « Moi j'aime les enfants à la folie. J'étais née pour en avoir, mais il sera bientôt temps que cela finisse ». La petite dernière, Thérèse, naît en janvier 1873. Afin de recevoir une éducation chrétienne, les aînées sont envoyées au pensionnat de la Visitation du Mans. Les soucis ne manquent pas, tels les difficultés scolaires de Léonie ou la santé délicate de Thérèse, qu'il faut placer chez Rose Taillé, une nourrice du village de Semallé. Si Zélie, femme active et énergique, tient incontestablement une place prépondérante dans le couple, elle ne cesse de louer la bonté paisible de Louis : « C'est un saint homme que mon mari, j'en désire un pareil à toutes les femmes ».

     

    Fervents chrétiens, Zélie et Louis assistent chaque matin à la messe de 5h30. Ils pratiquent le jeûne et la prière en famille, respectent scrupuleusement le repos du dimanche. Ils savent également mettre en pratique leurs convictions : ils visitent les vieillards seuls, les malades, les mourants ; lorsque l'occasion se présente, ils accueillent un vagabond à leur table, font les démarches pour le faire accepter à l'hospice d'Alençon. Zélie s'occupe notamment de ses bonnes et de ses ouvrières, souvent jeunes et inexpérimentées.

     

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    Maison des MARTIN à Alençon

     

    Maison à Alençon des bienheureux Louis et Zélie Martin, maison natale de sainte Thérèse.

     

    En 1876, la maladie frappe la famille Martin. C'est d'abord la sœur de Zélie, Marie-Dosithée, que ronge inexorablement la tuberculose. Durement affectée, Zélie se résout à consulter pour elle-même un médecin en décembre 1876. Malgré ses maux de tête, ses douleurs d'estomac, elle n'avait pas voulu jusqu'alors se soucier de sa santé. Mais le diagnostic ne laisse aucun espoir : la « tumeur fibreuse » au sein est trop avancée, une opération serait inutile. Zélie reçoit lucidement la nouvelle, tandis que Louis est « comme anéanti ». Isidore, le frère de Zélie devenu pharmacien à Lisieux, lui fait rencontrer un grand chirurgien. Mais celui-ci déconseille également l'opération : il est trop tard.

     

    Le 24 février 1877, Marie-Dosithée s'éteint. C'est pour Zélie un coup terrible, et son mal empire. En juin 1877, malgré ses souffrances, elle se rend à Lourdes, mais le miracle espéré n'a pas lieu. De retour à Alençon, elle met de l'ordre dans ses affaires et prépare la maisonnée à sa prochaine disparition. Elle reçoit l'extrême-onction le 26 août en présence de Louis et de ses filles, et meurt après deux jours d'agonie le 28 août 1877. Ses funérailles sont célébrées dans l'actuelle basilique Notre Dame15 d'Alençon. Elle est inhumée le 29 août au cimetière d'Alençon, laissant une famille effondrée et cinq filles dont la plus jeune, Thérèse, est âgée seulement de quatre ans et demi.

     

    Le veuvage de Louis

     

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           La maison familiale des Buissonnets à Lisieux.

     

    En novembre 1877, Louis et ses cinq filles s’installent à Lisieux pour se rapprocher d'Isodore Guérin, frère de Zélie, qu'un conseil de famille a désigné subrogé tuteur des enfants. Isidore et son épouse sont en effet persuadés que c'est la solution la plus sage et ils sont parvenus à convaincre Louis, d'abord réticent, de faire ce voyage. Pour accueillir la famille Martin, ils ont trouvé une maison bourgeoise entourée d'un parc : les Buissonnets.

     

    Louis, qui a vendu le commerce familial d'Alençon et vit désormais de ses rentes, se consacre à ses filles et en particulier à Thérèse, qu'il appelle sa « Reine » et elle son « Roi ». Il l'emmène souvent en promenade aux alentours. Marie, âgée de dix-sept ans, prend en main le fonctionnement de la maison, avec l'aide d'une bonne que l'on a engagée. Pauline, seize ans, s'occupe de l'éducation des deux petites, spécialement de Thérèse. Louis, coupé de ses amis d'Alençon, se renferme dans sa solitude : il lit, écrit, médite.

     

    La vie est austère aux Buissonnets : à l'animation de la boutique d'Alençon, toujours pleine de clientes et d'ouvrières, succède le silence et la solitude de cette demeure retirée où l'on reçoit peu. Les dimanches et les fêtes mettent un peu de fantaisie dans cette vie bien réglée : on assiste à la messe à la cathédrale Saint-Pierre, où l'on retrouve les Guérin, puis c'est un joyeux repas chez eux.

     

    Les filles grandissent, et les plus jeunes : Léonie, Céline puis Thérèse font à leur tour leurs études au pensionnat des bénédictines de Lisieux. En 1882, Pauline décide, avec le consentement de Louis, de devenir carmélite. Le 15 octobre, elle entre au carmel de Lisieux, au grand désarroi de Thérèse qui se sent abandonnée.

     

    Amateur de voyages, Louis Martin aime à faire visiter Paris à ses filles. En 1885, il entreprend un grand périple de près de deux mois. Avec l'abbé Charles Marie, il traverse l'Europe centrale jusqu'aux Balkans, via Munich et Vienne. Ils reviennent par Athènes, Naples, Rome, Milan. Les récits de voyage agrémentent ensuite les veillées d'hiver : « J'aime les longues soirées qui nous rassemblent en famille près du foyer pétillant » écrit Thérèse dans un devoir scolaire.

     

    Thérèse, sans doute la plus touchée par la mort de Zélie, est devenue une enfant excessivement sensible, toujours prête à fondre à larmes. En février 1886, Louis se résout à la retirer de son école et à lui faire donner des leçons particulières. En août 1886, à la surprise de toute la famille, l'aînée des filles, l'indépendante Marie décide à son tour d'entrer au carmel de Lisieux. Louis qui perd sa fille préférée, son « diamant », doit cacher sa peine. C'est également un choc pour Thérèse, dont Marie était devenue la confidente. D'autant qu'en octobre, Léonie se fait admettre au couvent des clarisses. La chaude atmosphère des Buissonnets est en train de disparaître. Il ne reste autour de Louis que Thérèse et Céline, qui est alors promue maîtresse de maison à dix-sept ans et demi.

     

    - LOUIS ET ZÉLIE MARTIN

     

    Statue représentant Thérèse et Louis Martin : elle lui demande l'autorisation d'entrer au carmel.

     

    Début décembre 1886, Léonie est de retour : sept semaines de la dure vie des clarisses ont eu raison de sa bonne volonté. Pourtant, au printemps 1887, elle demande à son père l'autorisation d'entrer à la Visitation de Caen. Le 1er mai 1887, Louis Martin subit une petite attaque qui le laisse paralysé du côté gauche pendant quelques heures. Mais l'intervention rapide de son beau-frère le tire d'affaire.

     

    1887 est une année de profonde transformation pour Thérèse, après la grâce qu'elle a reçue à Noël 1886 et qui l'a fait sortir de l'enfance. La détermination à devenir carmélite grandit en elle, non pour retrouver Marie et Pauline, mais parce qu'elle se sent appelée par Jésus. Le 2 juin 1887, jour de la Pentecôte, après avoir prié toute la journée, elle présente sa requête à son père, dans le jardin des Buissonnets. Louis objecte la jeunesse de sa fille, qui n'a pas encore quinze ans, mais il se laisse vite convaincre. Il ajoute que Dieu lui fait « un grand honneur de lui demander ainsi ses enfants ».

     

    Mais il faut surmonter les difficultés et convaincre l'oncle Isidore, puis le chanoine Delatroëtte, supérieur du carmel. Celui-ci se révèle intraitable et Louis propose de rencontrer l'évêque, Mgr Hugonin. L'entrevue se passe bien, mais l'évêque remet sa décision à plus tard. Devant le profond désarroi de sa fille, Louis évoque un ultime recours auprès du pape. Il doit en effet participer en novembre 1887 à un pèlerinage à Rome, organisé à l'occasion du jubilé de Léon XIII. C'est aussi l'occasion d'un grand voyage comme les affectionne Louis. Il fait visiter Paris à ses cadettes Thérèse et Céline, puis c'est le trajet en train à travers la Suisse, l'arrivée en Italie où les visites s'enchainent : Milan, Venise, Bologne puis Rome. Lors de l'audience papale tant attendue, le 20 novembre 1887, Thérèse se jette aux pieds du pape et l'implore de permettre son entrée au carmel. Léon XIII lui répond avec bienveillance mais aussi avec fermeté, qu'elle doit faire ce que les supérieurs diront et s'en remettre à la volonté de Dieu. Après l'échec de la démarche, la famille Martin regagne tristement Lisieux. Pourtant le 1er janvier 1888, veille des quinze ans de Thérèse, arrive par courrier l'accord de l'évêque.

     

    L'entrée au Carmel n'est prévue qu'en avril. Pour meubler l'attente de Thérèse, Louis Martin, toujours prêt à partir, lui propose un grand pèlerinage à Jérusalem. Mais il faudrait pour cela repousser la date d'entrée et Thérèse s'y refuse. 9 avril 1888, c'est le jour du départ ; devant la porte, Louis bénit sa fille en pleurant. Le carmel de Lisieux abrite désormais trois de ses filles : Marie, Pauline et Thérèse. Le lendemain, il écrit à des amis : « Ma Petite Reine est entrée hier au Carmel. Dieu seul peut exiger un tel sacrifice, mais il m'aide si puissamment qu'au milieu de mes larmes, mon cœur surabonde de joie ».

     

    La vieillesse

     

    Depuis le voyage en Italie, Louis Martin a beaucoup vieilli. Céline écrit ainsi à sa jeune sœur : « Ce pauvre petit Père, il me semble maintenant si vieux, si usé. () J'ai le cœur déchiré, je me figure qu'il mourra bientôt ». Il commence en effet à souffrir d'artériosclérose, de crises d'urémie qui provoquent étourdissements et pertes de mémoire. Le 23 juin 1888, c'est l'inquiétude et l'incompréhension aux Buissonnets : M. Martin a disparu ! Le lendemain arrive un télégramme du Havre : Louis demande de l'argent sans laisser d'adresse. On le retrouve enfin au Havre, lucide mais poursuivi par l'idée de se retirer et de vivre en ermite. C'est un traumatisme pour toute la famille, et particulièrement pour Thérèse qui a choisi l'enfermement au carmel au moment où son père aurait besoin d'elle. Elle est blessée par les questions et les paroles maladroites de certaines sœurs. Les ragots les plus malveillants parviennent même à franchir la clôture du carmel : si Louis Martin est devenu « fou », n'est-ce pas dû au départ de ses filles en religion, surtout de la plus jeune qu'il aime tant?

     

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    Hôpital où fut soigné LOUIS MARTIN

    Louis alterne dès lors les périodes de lucidité et les rechutes. Sentant sa fin prochaine, il se montre généreux : il offre les 10 000 francs nécessaires à l'achat d'un maître-autel à la cathédrale de Lisieux, pour lequel une souscription avait été lancée. Il offrira la même somme au carmel en 1890, pour la profession de Thérèse.

     

     

    Asile du Bon-Sauveur, ancien pavillon Saint-Charles, où est interné Louis.

    Le 10 janvier 1889, jour de la prise d'habit de Thérèse, la santé de M. Martin est stable. Il peut descendre la nef au bras de sa fille, qui écrit : « Jamais il n'avait été plus beau, plus digne. Il fit l'admiration de tout le monde »A 30. Pourtant, un mois plus tard, c'est le drame. Lors d'une crise sévère, Louis s'imagine au milieu d'une bataille et s'empare de son revolver. Appelé en hâte, l'oncle Isidore parvient à désarmer son beau-frère. Le 12 février 1889, le médecin décide d'interner le malade à l'asile du Bon-Sauveur, à Caen. Il y restera trois ans, étonnant le personnel par sa gentillesse et sa docilité pendant ses longs moments de lucidité. Il accepte la situation avec courage et résignation : « Je sais pourquoi le bon Dieu m'a donné cette épreuve : je n'avais jamais eu d'humiliation pendant ma vie, il m'en fallait une ». Thérèse partage douloureusement l'épreuve de son père. Elle avait toujours vu en lui l'image de Dieu, père bienveillant ; elle le reconnaît maintenant dans le Christ humilié, méprisé de tous. Elle médite longuement sur cette souffrance, étape importante sur son chemin spirituel.

     

    En juin, Isidore Guérin, craignant que le malade ne dilapide son patrimoine, obtient de Louis un acte de renonciation à la gestion de ses biens. Le vieil homme, lucide ce jour-là, sanglote : « Ah ! Ce sont mes enfants qui m'abandonnent ! ». À Noël 1889, le bail des Buissonnets est résilié, tandis que le carmel hérite de quelques meubles.

     

    Le 24 septembre 1890, âgée de dix-sept ans et demi, sœur Thérèse de l'Enfant-Jésus prononce ses vœux et devient définitivement carmélite. Ce jour de joie et d'aboutissement pour la jeune fille est également « tout entier voilé de larmes », tant elle pleure l'absence de son père.

     

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    Enfin, le 10 mai 1892, l'épreuve prend fin : Isidore ramène Louis de l'asile de Caen. Le vieillard peut rencontrer ses trois filles carmélites au parloir pour la première fois depuis quatre ans, ce sera aussi la dernière. Il est lucide, mais très amaigri et ne parle pas. On l'installe chez les Guérin, où Céline et Léonie, aidés d'une bonne et d'un domestique, s'occupent de lui car il ne marche plus. Pendant l'été 1893, il est conduit au château de la Musse, une belle propriété campagnarde dont a hérité Isidore Guérin.

     

    Mais la santé du vieil homme se détériore : le 27 mai 1894, il subit une violente attaque qui paralyse son bras gauche. Le 5 juin, il fait une crise cardiaque. Malgré son état, on le transporte à la Musse début juillet. C'est là qu'il meurt le 29 juillet 1894, en présence de sa fille Céline. Il est inhumé à Lisieux le 2 août. Le 14 septembre, Céline rejoint ses sœurs au carmel de Lisieux.

     

     

                        Louis et Zélie MARTIN 

     

     

                            Réactions à ALENÇON

     

     

     

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